Mes deux femmes
Quand je mourrai il ne se passera rien,
peut-être qu’il y aura deux femmes,
qui le remarqueront.
L’une sera ma mère,
la seconde une autre, - qui
pleurera sur moi.
Cela sera très beau : sur une tombe étrangère
deux femmes porteront des fleurs,
Diront des malédictions.
Ady Endre. 1907
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